cliquez pour agrandirPropulsion/Energie : Elle se compose d'une combinaison conventionelle d'un système diésel et électrique. Ce sont 2 moteurs électriques JEUMONT SCHNEIDER de 2600 BHP alimentés par une batterie de 160 éléments de type L qui fait fonctionner les 2 hélices assurant la propulsion. Un schnorchel permet le fonctionnement des deux groupes électrogènes diesels SEMT PIELSTICK PA8 de 1 224 BHP pour la recharge de la batterie. Ces groupes sont suspendus élastiquement pour éviter les vibrations et les bruits. Cette combinaison permet d'atteindre une vitesse de 13.5 noeuds en surface et 15 noeuds en plongée. ( Photo : J.P. Krintz : Lui-même aux auxilliaires Oct. 67)


 

 

 

Le poste des torpilles : Le système de lancement comporte un refouloir pneumatique à quatre pistons qui pousse la torpille par la queue sur une longueur de 5 m environ. Grâce à une large arrivée d'eau derrière la torpille, au travers de la porte latérale, le lancement est rendu à peu près indépendant de l'immersion du sous-marin.L'utilisation du refouloir pneumatique permet d'effectuer le lancement avec une discrétion optique absolue et une excellente discrétion acoustique.

 


 

 

 

cliquez pour agrandirCentral opération : Le C.O recoit les informations de toutes les sources de détection optique (périscope), acoustique ( hydrophone et sonar ), électromagnétique ( radar ) pour la direction de lancement des torpilles qui élabore les éléments du but - calcule la trajectoire des torpilles - les téléguide - donne l'ordre de mise à feu. ( Photo : J.P. Krintz : PCO de La Minerve en 1967 avec Miglaccio, et le Lt Renard )

 

 

 


 

 

cliquez pour agrandir Sécurité Plongée : De gauche à droite, on remarque, les barreurs de plongée avant et arrière, l'électricien de central aux chasses H.P. (250 bars) s'apprétant à manoeuvrer l'ouverture des purges, le maître de central tenant le micro passerelle en attente de l'ordre d'immersion. On remarque également les deux hydrogénomètres (taux H2) batterie 1/2 avant et arrière parés en exercice voie d'eau. Sur le tableau de sécurité plongée on distingue les manomètres, l'indicateur d'assiette et d'angle de barre. (Photo J.P Krintz : au fond QM mécano Nicolas et le Lt Agnus Officier mécanicien)

 

< Page Précédente

Page Suivante >